pacific promotion tahiti






CENTRE TOURISTIQUE BOBCAT
GI's Bora Bora BOBCAT CENTER

Le Centre Touristique BOBCAT est un projet consacré à la présence de la marine et de l'armée de terre américaine à Bora Bora pendant la seconde guerre mondiale.

En effet, suite à l'attaque de Pearl Harbor, le 7 décembre 1941 (*1) bien malgré eux, l'état major américain, secoué par cette terrible agression, est obligé de prendre part immédiatement aux combats qui sévissent en Europe. Leur entrée en guerre fait de ce conflit la deuxième guerre mondiale.

Le Centre Touristique BOBCAT a pour objet de retracer la formidable épopée des 5000 GI's qui ont séjourné à Bora Bora, cinq ans durant. Les GI's ont ainsi assuré, non seulement le délicat problème du ravitaillement et de l'entretien de la flotte alliée, mais aussi, ont permis d'empêcher une attaque japonaise par le Sud, mettant en péril la Nouvelle-Zélande et l'Australie, puis Tahiti et ses îles.

Voici le lien vers le film du projet "Bobcat GI's Bora Bora Museum" Cliquer ici!

(*1) Le 7 décembre 1941 au matin, fortes de leur alliance avec les Allemands par le pacte Antikomintern de 1936 et d'un pacte d'amitié avec l'URSS signé en avril 1941, les forces japonaises attaquent par les airs la base militaire américaine de Oahu et infligent, en deux heures de temps, de terribles pertes à la plus grande base navale américaine dans le Pacifique. Les avions japonais avaient décollé de six porte-avions ; ils coulent, incendient, torpillent à l'ancre les bâtiments américains, dont le fameux USS Arizona et ses 1 177 hommes d'équipage, qui faisait la fierté de l'Amérique.
S'inspirer de ce qu'ont fait les Américains à Hawaii

Dans le port de Pearl Harbor à Honolulu, un musée, le USS ARIZONA MEMORIAL, a été érigé sur les restes du navire coulé, en l'honneur des milliers de soldats qui ont perdu la vie ce jour-là. Tous les jours, avec grande émotion, des visiteurs de toutes les nations viennent se recueillir sur ce mémorial. Puis ils assistent à la projection d'un film documentaire qui retrace les évènements de la guerre du Pacifique. Ce musée permet aux familles, aux amis et à tous, non seulement de faire un rappel sur l'histoire, mais aussi de faire le deuil de ceux qui se sont battus pour notre liberté au prix de leur vie.

Historique de la création du USS ARIZONA MEMORIAL

L'idée de créer ce mémorial " le USS ARIZONA MEMORIAL " a germé en 1943 pendant les hostilités. Mais il a officiellement pris forme, en 1950, à l'occasion de la commémoration du neuvième anniversaire de l'attaque de Pearl Harbor. L'amiral Arthur Radford, commandant en chef de la marine américaine, fit poser sur le USS Arizona un mat et un drapeau américain ; il signifiait ainsi que ce bateau était toujours sentimentalement en opération.

Le président Dwight D. Eisenhower, en 1958, a approuvé la création de l' USS ARIZONA Mémorial, qui fut inauguré en 1961. Le projet a été financé par des donateurs privés et par des fonds publics votés par le Congrès américain.

Aujourd'hui, avec plus de 1 500 000 visiteurs annuels, le USS ARIZONA MEMORIAL demeure le circuit touristique le plus fréquenté de l'archipel des îles Hawaii.

Une belle journée ensoleillée sur la plage de sable blanc de Waikiki, Honolulu Hawaii.


L'Amérique en guerre est intervenue sur tous les fronts, y compris dans la fabuleuse île de Bora Bora, celle que l'on surnomme la perle du Pacifique.

S'il faut se féliciter que l'île de Bora Bora, durant la présence d'une base militaire américaine n'a pas été le théâtre d'affrontement il n'en demeure pas moins que l'île a été une des chevilles ouvrière qui a servi l'Amérique dans sa démarche pour que le mot " Liberté " soit une réalité sur la terre des hommes.

Parmi les centaines d'îles que compte la région, cette île a été choisie par l'état-major américain pour subvenir aux besoins du ravitaillement des forces américaines dans le Pacifique Sud.

Pour garder le secret, le projet de cette base a été baptisé BOBCAT.

Les Américains installeront un dépôt d'essence et de munitions, une base d'hydravions et de quoi ancrer leurs bâtiments de guerre dans la rade de Vaitape. Faut-il préciser que sur 118 îles que compte la Polynésie française, seule l'île de Bora Bora présentait les caractéristiques idéales pour l'installation d'une base militaire américaine ?

L'île de Bora Bora a été choisie entre autre à cause de son immense lagon intérieur dans lequel on pénètre par une passe unique et facilement contrôlable, surtout face à la menace des sous-marins.
Pour fortifier cette base, les Américains craignant une attaque japonaise, décident d'installer aux points stratégiques, dans les montagnes, huit énormes pièces d'artilleries, propulsant des obus de sept pouces.

Constatant que l'adduction d'eau potable dans l'île est insuffisante pour alimenter les troupes, ils lancent les travaux de génie pour régler ce problème crucial.

Non seulement ils devront remédier au réseau routier insuffisant pour recevoir les véhicules lourds de l'armée américaine, mais ils devront également construire des quais maritimes, une usine électrique et, finalement, une piste d'atterrissage qui sera le premier aérodrome de Polynésie française.

Bien entendu, l'île de Bora Bora ne sera pas en mesure d'apporter la main d'œuvre nécessaire pour assurer la logistique de l'installation de cette base militaire ; ce sont donc plus de 5000 GI's qui seront à poste dans l'île, cinq ans durant, augmentant de cinq fois la population de l'île.

Pour les Américains, BOBCAT a constitué une expérience considérable. Car faisant face à l'urgence, l'organisation de la base n'a pas été sans problèmes. Par exemple, les barges servant à débarquer les poids lourds, étaient stockées au fond de la cale des navires ; pour passer outre ce problème, le génie américain a dû construire à la hâte de nouvelles barges pour pouvoir débarquer les camions. Toutes les difficultés rencontrées à la réalisation de la base BOBCAT permirent aux Américains de tirer des conclusions quant à l'installation des autres bases, notamment à Guam et aux Philippines…

Avant de poursuivre notre dossier, il ne sera pas inutile de se remémorer ces quelques pages d'histoire

Le 7 décembre 1941 a été qualifié de ''journée de l'infamie'' par le président Roosevelt. Les États-Unis d'Amérique, déclarés neutres, font leur entrée officielle dans le conflit qui sévit sur le vieux continent depuis plus de deux ans, faisant de celui-ci " la deuxième Guerre Mondiale ".

L'Amérique, enfin, intervient sur les deux grands théâtres d'opérations, en Europe et dans le Pacifique.

Pendant ce temps, les forces nipponnes occupent la Thaïlande, Hong Kong, les Philippines et Guam. Leur expansion s'étend ensuite sur Bornéo, la Malaisie, les Célèbes, la Nouvelle-Guinée. Singapour capitule en 1942. En mars, l'Indonésie et la Birmanie sont conquises avec la capitulation de Bataan et de Corregidor. Les Japonais poursuivent leur avance dans les îles Aléoutiennes, aux Salomon et en Nouvelle-Guinée. Leurs avions ont bombardé l'Australie et Ceylan ; ils attaquent maintenant l'Alaska et l'île canadienne de Vancouver.

Tokyo, en huit mois de temps, s'est rendu maître de la moitié du Pacifique et contrôle plus de 90 % de la production mondiale de caoutchouc, 75 % de l'étain et a mis la main sur une immense réserve de pétrole.

Dès le printemps 1942, l'Amérique marque un coup d'arrêt à la marée japonaise par deux victoires de la flotte américaine, dans la mer de corail et aux îles Midway ; la flotte est commandée par l'amiral Nimitz.

La contre-offensive américaine va se concentrer sur Guadalcanal et marquera le début du retournement de la situation stratégique japonaise. En 1942, les sous-marins américains détruisent pour 1 million de tonnes de navires nippons.

En 1942, la dure reconquête de Guadalcanal et de la Nouvelle-Guinée (en partie par des troupes australiennes), écarte l'Australie de la menace d'une invasion japonaise, ce qui permet aux Américains, en 1943, de lancer deux offensives décisives sur les îles Aléoutiennes, conduites par l'amiral Nimitz. C'est donc à partir des bases américaines de la Nouvelle-Calédonie et du Vanuatu, anciennement Nouvelles-Hébrides, que les Américains lanceront les combats en direction des îles Philippines, des îles Gilbert, des îles Mariannes, ainsi que des îles Caroline. La conquête de Saïpan et de Guam permet aux Américains de placer sous ses feux la capitale nipponne.

Cette défaite, durement ressentie, provoque la démission du cabinet Töjö
Quand le général MacArthur reprend la Nouvelle-Guinée, les Moluques, et l'île de Leyte, aux Philippines, la flotte japonaise subit un tel désastre qu'elle ne s'en relèvera pas.

Face à l'ampleur de l'offensive américaine, l'état-major japonais décide de consolider ses positions en Chine du Sud, pour faciliter le ravitaillement de ses troupes en Birmanie et en Malaisie…

En 1944, alors qu'en Afrique comme en URSS, les forces alliées font une percée spectaculaire contre les Allemands, le reflux japonais en Extrême-Orient se fait au prix d'une reconquête alliée très dure. Les Japonais résistent avec acharnement, ils ne comptent pas leurs pertes humaines et appuient leur résistance sur l'idéologie du sacrifice volontaire, celui des fameux kamikazes.

Janvier 1945 : MacArthur attaque Luzon, la plus grande île des Philippines, entre à Manille après trois semaines de combats éprouvants. Nimitz débarque à Iwo Jima puis à Okinawa où a lieu une terrible bataille. Staline dénonce alors le traité de neutralité nippo-soviétique qui provoque la démission du cabinet du général Koiso, remplacé par l'amiral Suzuki.

Les Japonais résistent malgré une situation désespérée ; ils n'ont plus de flotte, le pays est soumis à une violente offensive aérienne alliée qui ne rencontre plus aucune opposition.

C'est alors que le président Harry S. Truman, succédant à Roosevelt, décide d'employer l'arme atomique contre le Japon.

Le 6 août, la première bombe nucléaire expérimentée en grand secret, détruit Hiroshima ; trois jours plus tard, une autre rase Nagasaki.

Entre temps, l'URSS déclare la guerre au Japon et signe un traité d'alliance avec la Chine.

Dès le 14 août, le gouvernement japonais fait savoir qu'il accepte la capitulation sans condition.

Le 2 septembre 1945, la guerre du Pacifique prend fin ; l'acte solennel de capitulation sera signé sur le cuirassé américain Missouri, en rade à Tokyo. À bord se trouvent notamment le général américain MacArthur, et le maréchal Leclerc, qui représente la France.

L'effort de guerre américain a été considérable ; en 1939, l'armée comptait 190 000 hommes et 330 chars. À la fin de la guerre, l'armée américaine comprend 11 millions de soldats. Ils auront fourni à la coalition contre l'Axe, 96 000 chars, 61 000 canons, 2 300 000 camions, 21 millions de tonnes de munitions, 296 000 avions. Pour soutenir cet effort en faveur de la guerre, l'industrie civile américaine a largement été mise à contribution.

Pour illustrer ce dossier, on peut rappeler que BOBCAT a, pendant son activité, approvisionné en carburant 181 navires. 193 navires ont été ravitaillés en eau douce grâce à un circuit de récupération et de conduites d'eau aménagées pour la circonstance. 45 navires ont été réparés dont une dizaine pour de gros travaux. 1200 navires ont été déchargés et chargés, ce qui représente 50 000 tonnes de fret. L'activité de la base américaine à Bora Bora s'est maintenue cinq ans, au cours desquels on a pu recenser le passage de vingt mille personnes en provenance des navires américains.

Le quai de Farepiti encore en service de nos jours, est construit et inauguré par les Américains le 30 avril 1943. Il en est de même pour l'aéroport de Motu Mute, qui a vu son premier atterrissage le 17 mars 1943.
À part quelques livres et les grands ouvrages témoignant de cette formidable épopée, il nous reste en souvenir l'aéroport du Motu Mute, le quai de Farepiti, les huit canons fixés dans la montagne et quelques grosses ancres entreposées au bord de la route. Cela mis à part, il ne reste rien pour rappeler que l'île de Bora Bora a grandement participé à l'effort de guerre déployé par les Américains pendant la seconde Guerre Mondiale.

Il ne sera pas inutile de rappeler que Tahiti, malgré la distance avec la métropole et les effets de la désinformation, s'est, dès l'annonce de l'appel du 18 juin 1940, rangée du côté du Général De Gaulle pour lutter contre le nazisme, plutôt que de collaborer avec l'ennemi.

Objet de ce dossier

Il s'agit de la création du CENTRE TOURISTIQUE BOBCAT à la mémoire de la présence américaine à Bora Bora et le rôle de la Polynésie pendant la seconde Guerre Mondiale

Nombreux sont ceux qui ont eu la surprise d'apprendre que le nom de Bora Bora était, chez les Américains, plus connu que celui de Tahiti et pour cause, une grande partie des visiteurs anglo-saxons qui se rendent à Bora Bora sont, en réalité, en pèlerinage sur les traces des anciens.

Ce dossier n'a pas pour but de démontrer son intérêt culturel, tout le monde l'aura compris, mais il a pour but de donner des explications sur sa faisabilité sur le plan économique tout en démontrant le mécanisme sur lequel reposera l'exploitation de cette structure.

A l'instar de ce qui se fait à Hawaii au Arizona Memorial, le CENTRE TOURISTIQUE BOBCAT est une structure audiovisuelle composée de 6 salles de cinéma, dont la plus grande peut recevoir 150 places, les 5 autres peuvent accueillir 30 personnes.

Chaque salle sera décorée avec des agrandissements photographiques muraux qui rappelleront les thèmes de l'époque.

Présentation du projet CENTRE TOURISTIQUE BOBCAT.

L'île de Bora Bora est située à 250 km au nord de Tahiti, ses 6000 habitants, dans un cadre édénique, vivent essentiellement du tourisme. Faut-il ajouter que sur le plan de la fréquentation touristique Bora Bora est le fer de lance du tourisme Polynésien.

En effet Bora Bora est la première destination des visiteurs qui se rendent en Polynésie française. Les Américains, avec 49 329 visiteurs en 2004, constituent la principale nation qui visite l'île. Les Français viennent en deuxième position avec 19 016 vacanciers, le marché asiatique est en troisième position avec 15 712 touristes ; puis viennent les Italiens avec pas moins de 8 000 visiteurs.

Nous l'avons dit plus haut, le nom de Bora Bora est encore très connu aux États-Unis d'Amérique ; cette renommée est en grande partie due à la présence des GI's dans l'île pendant la deuxième Guerre Mondiale.

Naturellement, la beauté des paysages et l'extraordinaire lagon de l'île invitent la clientèle touristique à pratiquer des activités sportives et aquatiques. Mais au vu de l'augmentation croissante des excursions en montagne en safari 4X4, on peut déduire qu'une grande partie des visiteurs s'intéressent aux sites historiques que sont devenus les canons de 7 pouces (17,7 cm) laissés par les Américains dans l'île à la fin des hostilités.

L'absence d'une présentation historique de la présence américaine à Bora Bora pendant le seconde guerre mondiale fait cruellement défaut.

C'est pourquoi un projet structuré sur le concept du CENTRE TOURISTIQUE BOBCAT revêt une importance culturelle incontournable dans une destination touristique aussi belle soit-elle.

Une petite description du CENTRE TOURISTIQUE BOBCAT s'impose.

Situation

Le terrain sur lequel le projet prendra place est situé au bord de la route de ceinture sur une longueur de 35,5 mètres à 500 mètres des installations du quai maritime de Vaitape, où peuvent se garer de nombreux véhicules.

La désignation est le Lot 3 du plan de partage de la terre MAUTARA lot 1, PV 101, sis à Nunue, Bora Bora. La superficie est de 1 622 m2

Bail commercial

Ce terrain a fait l'objet d'un bail commercial avec promesse de vente conclu entre le propriétaire et la société BOBCAT.

Présentation générale du CENTRE TOURISTIQUE BOBCAT

Signification BOBCAT

BOBCAT est le code secret que les Américains avaient donné au projet pour l'installation de la base militaire à Bora Bora en 1942; naturellement, nous avons conservé ce code pour désigner le musée consacré à la présence américaine à Bora Bora.

Le site

Le site du CENTRE TOURISTIQUE BOBCAT comprendra :

a) Une aire de parking pour recevoir 3 bus de 50 places avec, en plus, sept places pour des véhicules de tourisme.

b) Une aire de réception où seront entreposés, à gauche, un hydravion " OS2U Kingfisher " et, à droite, un snack-bar, qui aura la même décoration que le club des officiers Américains de la base BOBCAT.

c) Un bâtiment en dur de 25 X 17 mètres de large sur deux paliers avec au rez-de-chaussée :

     - Les installations des cinq petites salles de cinéma,

     - Un bloc sanitaire femmes et hommes, y compris pour personnes à mobilité restreinte, l'ensemble offrant 5 toilettes, 3 urinoirs et 4 lavabos.

     - Un bureau de direction et de secrétariat, y compris un bloc pour la gestion des tickets d'entrée.

     - Deux boutiques commerciales l'une pour les produits souvenirs du musée et l'autre qui sera une bijouterie.

d) À l'étage, on trouve une salle de cinéma comprenant 150 places. La grande estrade qui se trouve devant l'écran de projection, permet à cette salle d'être convertie en une salle de spectacle ou une salle de réunion voire une salle pour tenir des conventions. Attenante à la salle de cinéma, une petite salle de réunion a été aménagée pour accueillir, en petit comité, les membres de l'association BOBCAT.

e) Au fond du terrain, côté montagne, sera édifié un petit local technique destiné à l'entreposage du matériel électrique et technique du CENTRE TOURISTIQUE BOBCAT. C'est dans ce local que l'on disposera le groupe électrogène de secours.

f) Le Snack du CENTRE TOURISTIQUE BOBCAT prendra ses structures à gauche de la façade avant de l'immeuble. Une tonnelle permettra aux clients de pouvoir circuler à l'abri du soleil ou de la pluie lorsqu'ils se déplacent du snack à l'aire de pique-nique située sous l'avion KINGFISHER qui surplombe les installations à droite de l'entrée de l'immeuble.

KINGFISHER OS2 version VS310

Le KINGFISHER OS2U devenu par la suite le VS310. Cet hydravion était utilisé par les américains pour effectuer des vols de reconnaissance. A ce sujet, au nom des membres de l'association qui président à la création du CENTRE TOURISTIQUE BOBCAT, je demande à ceux qui peuvent nous aider à trouver cet avion, de se faire connaître en envoyant un mail à :
Planning de travail pour le fonctionnement du CENTRE TOURISTIQUE BOBCAT

Le CENTRE TOURISTIQUE BOBCAT ouvrira ses portes 7 jours par semaine à l'exception des jours fériés suivants : 1er janvier, 1er mai, 14 juillet, 1er novembre et 25 décembre.

- Le matin de 8H00 à 12H00.
- Il sera fermé de 12H00 à 13H00 pour la pause déjeuner
- L'après-midi, il sera ouvert de 13H00 à 17H00

Horaires de travail

Pour assurer le fonctionnement du Musée 7 jours d'affilés, deux équipes de travail seront constituées. Elles totaliseront chacune 36 heures de travail hebdomadaires en considérant le travail du dimanche (comptant double).

Animation du CENTRE TOURISTIQUE BOBCAT

Le CENTRE TOURISTIQUE BOBCAT comportera deux tours guidés le matin et deux autres l'après-midi.

Premier tour du matin
8H00 à 8H30    Visite guidée du CENTRE TOURISTIQUE BOBCAT
8H30 à 8H45    Passage à la boutique du CENTRE
8H45 à 9H00    Installation dans la salle de projection du film.
9H00 à 9H50    Projection du film.
9H50 à 10H00  Sortie des spectateurs, passage au snack.

Deuxième tour du matin
10H00 à 10H30   Visite guidée du CENTRE TOURISTIQUE BOBCAT
10H30 à 10H45   Passage à la boutique du CENTRE
10H45 à 11H00   Installation dans la salle de projection du film.
11H00 à 11H50   Projection du film.
11H50 à 12H00   Sortie des spectateurs, passage au snack.

Premier tour de l'après-midi
13H00 à 13H30   Visite guidée du CENTRE TOURISTIQUE BOBCAT
13H30 à 13H45   Passage à la boutique du CENTRE
13H45 à 14H00   Installation dans la salle de projection du film.
14H00 à 14H50   Projection du film.
14H50 à 15H00   Sortie des spectateurs, passage au snack.

Deuxième tour de l'après-midi
15H00 à 15H30   Visite guidée du CENTRE TOURISTIQUE BOBCAT
15H30 à 15H45   Passage à la boutique du CENTRE
15H45 à 16H00   Installation dans la salle de projection du film.
16H00 à 16H50   Projection du film.
16H50 à 17H00   Sortie des spectateurs, passage au snack.

Le premier circuit de la visite commencera à 8H00 le matin jusqu'à 8H45 au cours duquel les visiteurs seront invités à choisir les thèmes des films qui seront projetés au rez-de-chaussée. Puis ils seront invités à monter au premier étage (en passant par la boutique) où sera projeté le film principal qui relatera la guerre du Pacifique et l'installation de la base BOBCAT. La projection du film commencera à partir de 9H00 pour une durée de 45 minutes. Après la projection du film les clients pourront se rendre au snack ou à la boutique avant de poursuivre leur périple de la journée.

Le même itinéraire sera organisé de 10 à 12 heures, de 13 à 15 heures et de 15 à 17 heures.

Réservations

- Le vendredi soir et le samedi soir seulement, la salle de spectacle sera ouverte au public sans réservation, ceci pour la projection de films grand public de 19H00 à 23H00.

- Toutes les entrées feront l'objet d'une réservation. La clientèle qui se présentera sans réservation risque de ne pas trouver de place pour la salle de projection. La réservation pourra se faire par téléphone et par Internet avec paiement sécurisé. Le module de réservation tiendra compte de l'emplacement de chaque fauteuil dans la salle de projection.



Location de la salle de spectacle

Pour des séminaires, des réunions ou des congrès, la salle de projection peut être louée à condition de prévoir la date au moins 3 mois à l'avance, de manière à permettre le blocage de la vente des sièges à cette occasion. Bien entendu, s'il s'agit d'une location dont les horaires se tiennent en dehors des horaires de fonctionnement du CENTRE TOURISTIQUE BOBCAT, le délai de réservation peut être inférieur à un mois.

Organisation des manifestations du Musée

On a vu, précédemment, que les activités du CENTRE TOURISTIQUE BOBCAT fonctionnent par tranche de 2 heures. Dès leur arrivée, les clients auront 45 minutes pour prendre connaissance des films diffusés au rez-de-chaussée ainsi que pour effectuer leurs achats à la boutique ; ils peuvent être accompagnés d'un guide touristique. Ils auront ensuite 15 minutes pour se rendre dans la grande salle de cinéma où la projection du film principal aura lieu (45 minutes) ; à la sortie du film, ils pourront se désaltérer ou prendre un repas au snack avant de poursuivre leur route sur une nouvelle excursion.

Le programme ci-dessus aura lieu 4 fois par jour, 7 jours sur 7.

Cependant, il sera possible à la demande de la clientèle, de moduler les programmes de projection du film afin de projeter les films cultes qui ont été tournés en Polynésie ou à Bora Bora. Ainsi on pourra envisager la projection par exemple des films suivants :

- Tabu de Murnau
- Les Révoltés de la Bounty N°1 (Trevor Howard)
- Les Révoltés de la Bounty N° 2 (Marlon Brando)
- Les Révoltés de la Bounty N° 3 (Mel Gibson)
- Hurricane
- Moana l'enfant des îles.

LE CENTRE TOURISTIQUE BOBCAT respecte la nature

- On prendra soin de limiter la consommation d'énergie électrique en exploitant au mieux l'énergie solaire par l'adjonction de panneaux solaires entreposés sur la toiture du musée.

- Toutes les pièces, salles d'exposition ou de projection, seront climatisées avec un bloc réfrigérant central qui sera situé en haut du local technique.

- Le traitement des eaux usées est prévu par un branchement sur le tout-à-l'égout de la commune de Bora Bora.

Deux entités - L'association BOBCAT et la SARL BOBCAT

L'association BOBCAT a pour but de se rendre propriétaire de tous les matériaux concernant le Musée et de le mettre à disposition d'une société commerciale qui l'exploitera selon les règles commerciales établies en Polynésie française.

- Ressources de l'association BOBCAT

a) En contre partie de l'exploitation des films cinématographiques du CENTRE TOURISTIQUE BOBCAT, la SARL BOBCAT doit reverser à l'association une commission mensuelle de 3 % calculée sur les recettes des entrées du Musée.

b) L'association doit selon ses statuts solliciter les cotisations de ses membres, chercher à obtenir des subventions territoriales, communales ainsi qu'obtenir des donations.

- Objectifs de l'association BOBCAT

Restaurer, recenser ou acquérir le matériel d'exposition du CENTRE TOURISTIQUE BOBCAT

a) faire entretenir les sites militaires créés par les américains pendant leur séjour à Bora Bora. (Dépôts à munition, canons, ancres) Reconstituer l'ambiance GI's dans les locaux du Musée.

b) Pour l'entretien des sites militaires, passer des marchés avec les entreprises de la place.

c) Organiser des séminaires sous l'égide de l'association afin de réunir les partenaires du tourisme à Bora Bora, administrations, entreprises, responsables communaux et politiques.

- Locaux de l'association.

La SARL BOBCAT met gracieusement à disposition de l'association, deux bureaux, un pour les besoins du secrétariat et une salle de réunion pour recevoir les membres de l'association.

La SARL BOBCAT

La SARL BOBCAT est une entreprise commerciale, régie par les règles de commerce en vigueur dans le territoire de la Polynésie française, elle devra respecter un cahier de charges qui lui sera imposé par l'association, à défaut de respect du marché, elle peut perdre le bénéfice de l'exploitation des films du CENTRE TOURISTIQUE BOBCAT, qui peut le cas échéant être accordé à une autre société d'exploitation.

Donations,

Le CENTRE TOURISTIQUE BOBCAT ne se présente pas comme un Musée habituel à l'exception des nombreuses photographies qui seront exposées dans les salles audiovisuelles situées au rez-de-chaussée.

Le principe du CENTRE TOURISTIQUE BOBCAT est son concept ; c'est-à-dire retracer l'histoire à travers plusieurs films documentaires dont le principal sera diffusé dans la grande salle de projection. Ce document mettra en évidence la monstrueuse histoire de la guerre du Pacifique, avec pour toile de fonds les liens secrets qui se sont tissés entre l'état major Américain et la France libre qu'incarnait alors son fondateur le général de Gaulle.

Une histoire formidable, méconnue mais qui mérite d'être racontée avec l'expertise des meilleurs historiens en la matière tant de la part des américains que des français.

Pour satisfaire à ce projet, la société Pacific Promotion Tahiti maître d'œuvre de ces films, a besoin de financements.

Un bon financement pour la réalisation des films constituera la réussite de la création du CENTRE TOURISTIQUE BOBCAT

À l'heure actuelle, le gouvernement de la Polynésie française nous a donné son accord pour le permis de construire.

À présent nous tentons de réunir au sein de l'association BOBCAT les fonds nécessaires à la réalisation des films et d'un exemplaire grandeur nature de l'avion OS KINGFISHER qui sera exposé sur le fronton du bâtiment BOBCAT.

Tous les donateurs sont les bienvenus, merci de vous identifier en nous faisant parvenir vos coordonnées à l'adresse suivante :


Au nom de tous les membres de l'association BOBCAT, je vous remercie de votre donation, qu'elle soit financière ou autre.

Teva SYLVAIN,